Bibliographie berbère générale
L'interrogation est possible selon plusieurs critères : AUTEUR, PAYS, DIALECTE, MOTS-CLÉS, NOM PROPRE, ANNÉE
On peut indiquer ces éléments les uns à la suite des autres dans la recherche. Exemples :
- Chaker diachronie 1994
- Prasse 1998
- Stumme chleuh
4 Résultat(s) trouvé(s)
REVUE QUEBECOISE DE LINGUISTIQUE.; Berber clitic doubling and syntactic extraction., 1995
Volume: 24; Fascicule: 1; Pagination: p. 111-133
STUDIES IN LANGUAGE; The syntax of cleft sentences in Berber., 1986
Ville, éditeur : Amsterdam/Philadelphia , John Benjamins Publishing Company
Volume: 10; Fascicule: 1; Pagination: 53-77, graph., 18 notes
Compte rendu : Description syntaxique, dans un cadre générativiste, des syntagmes "clivés" (focalisé/"anticipation renforcée" d'A. Basset) en berbère marocain. Examine les différentes possibilités de focalisation, les implications pragmatiques de celle-ci et son histoire dérivationnelle. Sur ce plan, la focalisation est considérée comme transformation de la phrase simple de base. On comparera avec intérêt ce traitement générativiste avec celui des structuralistes, notamment LEGUIL (n° 0974, 0976, 0992).
BULLETIN DES ETUDES AFRICAINES DE L'INALCO; La focalisation en touareg de l'Adhagh., 1984
Volume: 4; Fascicule: 8; Pagination: 73-87
Autres : ADRAR
Compte rendu : La focalisation ("anticipation renforcée" d'A. Basset) ne change pas, pour A.L., la nature syntaxique profonde de l'énoncé. Il y a mise en relief mais l'élément focalisé n'est pas le prédicat. Comparaison avec le touareg de l'Ahaggar, le kabyle, le chleuh.
BULLETIN DE LA SOCIETE DE LINGUISTIQUE DE PARIS; Une mutation syntaxique en français et en kabyle., 1984
Dialecte : KABYLE
Volume: 79; Fascicule: 1; Pagination: 323-332, 24 notes
Compte rendu : La topicalisation (ou thématisation) et la focalisation ("anticipation renforcée" d'A. Basset) en Kabyle. Fonctionnement et statut. S'inspirant des distinctions théoriques développées par des linguistes comme J. Perrot et Cl. Hagège, A.L. considère ces phénomènes (en fait, surtout la focalisation) comme non fondamentalement syntaxiques et comme relevant plus du "message" que de l'"énoncé". Cette analyse repose évidemment entièrement sur l'option théorique de départ et l'on peut être réservé sur la possibi¬lité et la validité de ces distinctions et sur la séparation des niveaux d'analyse que l'on pourrait fonder dessus. Les phénomènes étudiés sont, comme le souligne A.L., complexes et instables ; ils tolèrent sans doute plusieurs analyses concurrentes.